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Autriche

  • Photo du rédacteur: Loïc Bole-Richard
    Loïc Bole-Richard
  • 3 nov. 2017
  • 2 min de lecture

Après quelques jours dans les paysages tchèques, nous décidons de prendre la route de Vienne.

Habituellement en ville on préfère se mettre dans un camping mais grâce nos multiples ressources, nous avons dénicher un parking gratuit non loin du centre ville. On se croirait presque à la campagne !

On prend donc la route du centre ville en transports afin de se documenter sur les visites à faire. Face à temps d’activités et de lieux à découvrir, nous optons pour un passe visite de deux jours du « tout-Vienne ».

On flâne donc le reste de l’après-midi dans les ruelles de la capitale autrichienne et organisons les jours à venir.

Après une bonne nuit de sommeil, notre journée marathon commence : rien de tel que des lieux chargés d’histoire; le palais impérial, le musée de Sissi et la bibliothèque nationale nous en apprennent beaucoup sur la famille des Habsbourg, les différentes batailles et conquêtes ainsi que les coutumes de l’Autriche. On se délecte d’une délicieuse escalope Viennoise dans la schnitzel la plus connue de Vienne. Il faut bien reprendre des forces pour continuer la visite ! Après déjeuner, nous prenons le bus découvrir le quartier du Danube avec l’envie de ce divertir …

Tour de grande roue, musée de cire, vue panoramique depuis la tour du Danube et attraction en 5 dimensions pour voyager dans le Vienne d’autrefois !

Nous rentrons en fin de soirée, épuisés mais pleinement satisfait de notre journée. La beauté de la ville et son patrimoine sont extraordinaires.

Cette troisième journée sera tournée vers les châteaux. Il y en a quatre uniquement dans la ville.

Nous commençons par le palais du Shonbrun et son immense parc. C’est un peu le « Versailles » autrichien, qui régale nos yeux. On en profite pour rendre visite à FuHu, le panda né cette année au zoo et on ne résiste pas à la tentation de se perdre dans le labyrinthe qui arpente le parc. Trente minutes pour atteindre le centre… Et oui, même avec des heures d’entrainement sur les routes avec nos cartes, on ne s’en sort pas mieux dans le labyrinthe.

On fini notre pause urbaine en faisant un dernier tour et en allant admirer « le baiser » de Klimt.


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